Il n'y a pas si longtemps, le Bourgeais vivait au rythme des saisons, au pas des chevaux et du travail de ses mains. L'économie des bourgs et villages tournait toute entière autour du travail de la terre.

Dans chaque village, plusieurs artisans pouvaient exercer la même activité sans se concurrencer car il y avait du travail pour tous.

Lorsqu'une roue de charrette était usée, avant de la changer, il fallait vérifier l'état des rais et de la jante et la bonne tenue du bandage. On n'hésitait pas à retailler le bois, reforger le fer.... On ne jetait pas, on recyclait déjà à l'époque.

Beaucoup de ces métiers ont disparu avec le déclin du cheval lors de l'apparition des tracteurs, fabriqués hors des villages.

• En raison de problêmes techniques pour le moment non résolus, car incompris, la fin de ce montage est tronqué. Nous mettons tout en oeuvre afin de réparer ce dysfonctionnement.


Dans chaque village, plusieurs artisans pouvaient exercer la même activité sans se concurrencer car il y avait du travail pour tous. La main d'œuvre était peu onéreuse mais les produits fabriqués duraient peu et exigeaient des soins constants.

Par exemple, pour les chevaux il fallait changer leur fer au moins quatre fois par an, ce qui donnait une charge de travail au maréchal Ferrand assez conséquente. Dans certains villages, on pouvait compter jusqu'à 200 chevaux.

Un autre artisan, le bourrelier, allait de ferme en ferme pour réparer sur place les harnais abîmés par les gros travaux des champs.

Lorsqu'une roue de charrette était usée, avant de la changer, il fallait vérifier l'état des rais et de la jante et la bonne tenue du bandage. On n'hésitait pas à retailler le bois, reforger le fer.... On ne jetait pas, on recyclait déjà à l'époque !

Beaucoup de ces métiers ont disparu avec le déclin du cheval lors de l'apparition de la motorisation avec les tracteurs, fabriqués hors des villages.