PENDANT UN VOYAGE AVEC SON CHAUFFEUR, LE MILLIONNAIRE EST RESTÉ PARALYSÉ EN VOYANT SA MONTRE...

Thierry Dubois, un homme d'affaires millionnaire réputé, se préparait pour un autre voyage d'affaires. C'était un aprèsmidi pluvieux, et le ciel gris reflétait l'état d'esprit de Thierry, qui portait toujours une mélancolie silencieuse depuis la disparition de son fils Philippe, il y a vingt ans. Le chauffeur, un jeune homme nommé Jean, attendait patiemment à côté de la voiture luxueuse. "Prêt à partir, Monsieur Dubois ?" demanda Jean, en ouvrant la portière de la voiture. "Oui, allonsy," répondit Thierry en entrant dans le véhicule. Pendant que la voiture glissait sur les rues mouillées, Thierry, presque par réflexe, remarqua le poignet de Jean et vit une montre familière. Elle était identique à celle que Philippe portait le jour de sa disparition. Le cœur de Thierry battait plus fort, et il se pencha en avant, les yeux fixés sur la montre. "Jean, où astu eu cette montre ?" demanda Thierry, essayant de garder une voix ferme. Jean, surpris par la question, regarda rapidement la montre. "Ah, cette montre ? Je l'ai achetée dans une boutique de prêt sur gages dans une petite ville où j'ai vécu un temps. Pourquoi ?" Thierry sentit une vague d'émotion et d'espoir. "Peuxtu m'emmener dans cette ville ? C'est important." Jean hésita un instant, mais le sérieux dans le regard de Thierry le convainquit.

"Bien sûr, Monsieur Dubois. Allonsy immédiatement." Le voyage prit une tournure inattendue, et Thierry ne pouvait détacher ses pensées de la montre. Chaque kilomètre parcouru augmentait son anxiété et son espoir. Il savait que c'était une piste qu'il ne pouvait ignorer. Thierry et Jean entrèrent dans la petite ville sous un ciel nuageux, la pluie maintenant réduite à une légère bruine qui donnait un air mélancolique à l'environnement. Les rues étroites et les bâtiments anciens avaient un charme nostalgique, mais Thierry était focalisé sur une seule mission : trouver la boutique de prêt sur gages mentionnée par Jean. "C'est juste là, Monsieur Dubois," dit Jean en pointant une petite boutique avec une enseigne vieillie. Thierry hocha la tête et sortit de la voiture, ressentant un mélange d'anxiété et d'espoir. En entrant dans la boutique, ils furent accueillis par un vieil homme à l'expression aimable, qui se leva de derrière le comptoir rempli d'objets anciens. "Bonjour messieurs. Comment puisje vous aider ?" demanda Monsieur Alfred, le propriétaire de la boutique. Thierry s'approcha du comptoir, sortant la montre de sa poche. "Cette montre... vous souvenezvous de qui l'a apportée ici ?" Monsieur Alfred ajusta ses lunettes et examina la montre avec attention. Ses yeux s'écarquillèrent en la reconnaissant. "Oui, je m'en souviens très bien. Elle a été vendue par un homme nommé Pierre.